TROY VON BALTHAZAR

Double comeback pour le leader de Chokebore qui, dans la foulée de la réédition de l’iconique Black Black, sort un septième album solo apaisé. « Aloha signifie adieu” (Aloha Means Goodbye). Choisir un tel titre d’album n’est pas anodin pour , songwriter

Double comeback pour TROY VON BALTHAZAR, le leader de Chokebore qui, dans la foulée de la réédition de l’iconique Black Black, sort un septième album solo apaisé, Aloha Means Goodbye. Enregistré en autarcie au cours de l’année 2024, c’est une œuvre pudique et apaisante d’un artiste qui a su se reconstruire par la biais de son art.

« Écrire ces morceaux m’a énormément aidé. Je me suis accroché à eux comme un enfant s’accroche à la jambe de sa mère. Quand j’étais au plus mal, j’ai eu un sentiment de bonheur d’avoir passé ma vie au service de la musique. Sur cet album en particulier, j’ai voulu être honnête et laisser la musique s’exprimer au naturel. »

Mission accomplie.

https://youtu.be/wqwPZBI8rMA

Maxime Mouquet

« J’essaye juste de décrire le monde dans lequel j’évolue. Un monde violent, beau et mourant, que nous façonnons tous les jours de nos propres mains. Peut-être que je suis un troubadour de la fin du monde, peut-être suis-je un imposteur courant après son égo. Qui sait ? »

Après un premier EP Through My Eyes sorti sous le nom de Coole Max, MAXIME MOUQUET continue d’écrire des chansons simples et intenses questionnant notre humanité, nos faiblesses et notre quête de l’auto-destruction.

Il a pu être entendu, entre autres, en ouverture de Rover, H-Burns, Black Sea Dahu, Jaye Jayle et Sylvaine.

https://youtu.be/QbiRjeHnG6c

Pink Teeth

Derrière ses lunettes roses, on a jusque là aperçu Aurélien Gaïnetdinoff (Ada Oda, Almost Lovers, Yolande Bashing…) dans des contextes plutôt (très) remuants et électr(on)iques. Avec PINK TEETH, projet depuis longtemps en gestation, le Lillois se décide enfin à explorer un songwriting introspectif dans la lignée des grands mélodistes de l’intime.
Ses mourning routines en anglais seront pour l’heure interprétées à l’os en compagnie de Zacharie Boissau (Garciaphone), en duo guitares et voix.

Photo © Regis Feugere